Je suis Florent Marotta, romancier, auteur de Thriller et de Fantasy.
Mes livres sont le fruit de ma créativité et de mon expérience.
Mon expérience professionnelle est riche d’un long passage sous les drapeaux. D’abord parachutiste dans l’armée de Terre au 3e RPIMa à Carcassonne, j’ai eu l’occasion de beaucoup voyager et de me confronter à des situations qui forgent un caractère et une expérience.
J’ai ensuite continué ma vie professionnelle en tant qu’Officier de police judiciaire en gendarmerie, arme dans laquelle j’ai fini ma carrière.
Je suis un autodidacte convaincu. J’aime bien l’idée que la culture et l’enrichissement personnel soient une espèce de buffet où chacun vient se servir selon ses envies.
Chaque situation est un prétexte à s’enrichir, à emmagasiner des expériences qui servent de terreau aux histoires.
Et les histoires, parlons-en…
Je suis tombé dans l’écriture après de nombreuses heures à rêver dans les pages des autres et à faire vivre des personnages dans les mondes imaginaires des jeux de rôle. La liste serait bien trop longue, alors que l’on me pardonne de ne pas être exhaustif.
Je citerais simplement des auteurs comme Tolkien, mais aussi Eddings, Gemmel, le regretté Terry Pratchett et tant d’autres, qui, en matière de Fantasy, ont su me transporter dans des contrées oniriques plus vraies que nature, ou presque.
Pour les Thrillers, en revanche, je me souviens de l’ambiance des livres d’Umberto Eco, du rythme palpitant chez Dan Brown, de la saveur si particulière d’une Agatha Christie. S’arrêter là c’est oublier Ellory, Flynn, Lemaître, la série noire Gallimard et tant d’autres.
Mais vous l’aurez compris, la lecture fait partie de mes plaisirs et je lui dois ma soif de raconter des histoires.
Mes livres trahissent sans surprise mon expérience, à la fois de vie, mais aussi de lecture. J’aime glisser dans mes pages des comportements, des valeurs qui me tiennent à cœur. Pourtant, je ne saurais rester sur des rives que je connais par cœur. C’est pourquoi j’essaie tout le temps de me lancer de nouveaux challenges en naviguant hors de ma zone de confort.
J’aime prendre des bases réelles et tourner autour de la théorie du complot comme dans Projet T, Injection de réalité 2.0 ou encore L’échiquier d’Howard Gray.
J’ai aussi un petit penchant pour le surnaturel auquel j’expose des personnages sceptiques comme Gino Paradio dans Le Visage de Satan ou le recueil de nouvelles, Pandore.
Comme j’aime les personnages au passé torturé, Michael Ballanger, dit le French coach, est venu rejoindre la bande dans les pages de Le Meurtre d’O’doul bridge suivi de Les Ombres d’Oakland.
Enfin, une héroïne, une fois n’est pas coutume, a fait son apparition dans la série qui porte son nom : la série Yzé.
Yzé et le palimpseste, premier tome d’une saga en cours d’écriture, révèle à une adolescente que le monde est rempli de magie et de dangers. Le tome 2, Yzé et le projet Ultima, poursuit l’aventure.
Quand j’écris un roman, j’aime passer du temps à le préparer, faire des recherches, lire sur les sujets qui vont être abordés.
C’est pourquoi je souhaite partager avec vous sur ma page actu l’avancée de mes projets, de la préparation au roman fini.
Restons en contact !
Ma bio officielle
Naissance à Firminy le 22 mars 1976.
Florent Marotta passe son enfance dans la Loire, dans une petite ville proche de Saint-Étienne. Il se met à lire sur le tard, préférant l’écriture et les histoires qu’il s’invente alors, empreintes de mondes et de créatures imaginaires. Il crée les personnages qui le font rêver, qu’il aimerait croiser.
Il admire au collège les enquêtes au climat si particulier d’Agatha Christie dont Dix petits nègres le font frissonner, et Sherlock Holmes parfois y pointe également le bout de son nez, plus tard apparaît Elizabeth George.
Sa scolarité est inégale, pour ne pas dire inachevée. Il met un point d’honneur à obtenir son baccalauréat littéraire bien des années après en candidat libre, sans réellement savoir pourquoi. C’est le début pour lui d’un goût certain pour le savoir. Florent Marotta est un autodidacte. Il préfère de loin apprendre ce qu’il veut comme il l’entend et perdre cinq euros en frais de retard à la bibliothèque qu’en une éducation inadaptée.
Il se met à écrire en 1997 à vingt-et-un ans. Un roman de fantasy, encore aujourd’hui inachevé, dont l’inspiration lui vient au gré des lectures des livres de Tolkien, Eddings, Grimbert, Jordan et bien d’autres encore.
Et puis il découvre la littérature noire, le polar et son cortège d’écrivains tous plus ingénieux les uns que les autres. Il débusque les « Séries noires » de Gallimard avec Carlotto, Shagan et Deming pour ne citer qu’eux. Une vraie saveur, du vrai noir. Il s’aventure aussi sur le terrain du thriller et du complot avec Umberto Eco, Dan Brown, Ian Caldwell et même Henri Lœvenbruck. Dans un autre genre Roger Jon Ellory le subjugue, Fred Vargas l’accompagne, Gillian Flynn le laisse perplexe et Pierre Lemaître pantelant.
Ses influences sont multiples et trahissent son désir de ne pas se cantonner à un seul genre. De ce mélange de saveurs est né son désir d’écrire, de raconter des histoires.
Le choix du thriller et du polar s’impose. Son expérience professionnelle y est probablement pour beaucoup. Il arpente les terrains de jeu pas toujours très reluisants du monde. Il est successivement militaire, soldat de l’Onu dans une ex-Yougoslavie agonisante, enquêteur en police judiciaire et maintenant il goûte une vie plus calme dans une mairie de la Loire.